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113 réponses

  1. GRAF Liliane

    Grande erreur dans votre enquête lue dans la Tribune de Genève de ce jour (4.11.2015).
    « Adieu » pour les Genevois c’est « Bonjour » et NON « au revoir ».
    J’en suis sûre, ça m’avait beaucoup frappée quand je suis arrivée à Genève.
    Je viens du Tessin et habite à Genève depuis 1986.
    Merci et bon travail.
    Liliane Graf

    1. oui effectivement c’est aussi le cas dans notre enquête, adieu est utilisé pour dire bonjour, c’est aussi le cas dans le reste de la suisse romande et dans les deux savoies… nous n’avons pas pu relire les articles des journalistes avant leur mise en ligne
      merci de votre vigilence !

      1. Nadia Nayak

        J’aimerais juste corriger un mot dans le commentaire de Mathieu Avanzi : il faut écrire « vigilance » et non « vigilence ». Par ailleurs, à Fribourg aussi on emploie « Adieu, donc » pour dire bonjour et pas au revoir.

  2. Dans l’article paru aujourd’hui dans 24 Heures, il est dit que les Romands utilisent parfois pouvoir au lieu d’oser. En réalité, c’est le contraire. Ils diront, par exemple: est-ce qu’on ose goûter ce produit? Moi, j’ai envie de leur répondre: c’est à vous de savoir si vous osez ou non. La formule correcte n’est-elle pas: est-ce qu’on peut goûter ce produit?

    1. Pascale Fleury

      Dans le Canton du Jura , on utilise effectivement le verbe pouvoir à la place d’oser ! Dans le sens d’avoir la permission ,  » est-ce que j’peux entrer ou goûter…? » et dans un signe de respect, « est-ce que je pourrais utiliser votre natel pour appeler mon mari ?

  3. Charly BOCHUD

    Petite rectification sur les commentaires de Nadia Nayak. Dans le canton de Fribourg, on dit aussi « Adieu » (prononcé d’une manière joviale) pour « bonjour » et « Adieu, don » (et non « adieu, donc ») (prononcé d’une manière plus posée) pour au revoir.

  4. Jean Balmer

    De retour dans le canton de Fribourg, je redécouvre des manières de prononcer les noms des gens : Marie du Jules à Pierre…. C’est un véritable délice auditif que je n’avais jamais entendu dans ma jeunesse ou les nombreuses années passées à Lausanne. Gardons cet héritage si précieux !

    1. roederer

      Joli passé surcomposé, on n’en voit plus beaucoup…

      Un mot pour M. Avanzi ; dans l’Est de la France, « Comme dit » ne signifie pas « comme on dit », mais « comme déjà dit », e bon français « comme je/tu/il/elle disais/t »

  5. Rougemont

    Il me semble que la plupart des « germanistes » ne sont pas des emprunts récents aux voisins, mais des mots qui ont des racines très anciennes dans les langues celtiques ( patois entre deux!)

  6. Georgia Grondin

    J’aimerai participer à l’enquête, malheureusement pas de lien pour y entrer.
    je souhaiterais également savoir si vous contemplez le français parlé dans l’Océan Indien vu que le français outre atlantique ne contemple que Quebec et les Antilles.

    Sinon j’ai trouvé le site très bien et très didactique, je l’utilise en cours.

  7. A. Nathalie

    A propos d’estrasse : « vieux » chiffon à poussière mais plus surement à nettoyer du très sale (graisse… on le jette après)
    en Provence on est « estrassé de rire » quand on n’en peut plus d’un fou-rire mémorable sans doute comme une estrasse qu’on essorerait et plierait en deux

  8. Jagot Anne

    Dans le Jura français, on dit aussi  » débarouler », par contre on ne dit pas « s’empierger » mais « s’entrouper » (par exemple:  » je me suis entroupé dans le tapis » = se prendre les pieds et trébucher.

  9. Sarah

    J’ai participé à l’enquête mais j’aurais souhaité rajouter quelques expressions:
    – une gaïole (orthographe? je l’utilise pour l’appliquer à « une fille cruche physiquement ou mentalement »)
    – la clinche (« la poignée de la porte »)
    – narreux (orthographe? adjectif se disant de quelqu’un qui est dégoûté par le fait de manger avec des objets utilisés par quelqu’un d’autre, ou même dégoûté par des choses à la texture bizarre comme des cheveux ou des restes de nourriture dans le trou d’un évier). J’ai déjà connu des réactions d’incompréhension face à l’usage de ce mot de la part de personnes originaires du Brabant Wallon.
    Je suis originaire de la région namuroise en Belgique.

  10. sbethume

    J’ai participé à l’enquête mais j’aurais souhaité rajouter quelques expressions:
    – une gaïole (orthographe? je l’utilise pour l’appliquer à « une fille cruche physiquement ou mentalement »)
    – la clinche (« la poignée de la porte »)
    – narreux (orthographe? adjectif se disant de quelqu’un qui est dégoûté par le fait de manger avec des objets utilisés par quelqu’un d’autre, ou même dégoûté par des choses à la texture bizarre comme des cheveux ou des restes de nourriture dans le trou d’un évier). J’ai déjà connu des réactions d’incompréhension face à l’usage de ce mot de la part de personnes originaires du Brabant Wallon.
    Je suis originaire de la région namuroise en Belgique.

  11. Ma grand’mère,qui avait épousé un menuisier de LAUSANNE utilisait couramment les termes septante et nonante (dont on m’a fait passé l’usage à l’école) et utilisait d’autres expressions sur lesquelles je m’interroge comme:’J’AI RENCONTRÉ UNE CHARRETTE’ POUR DIRE QU’ELLE AVAIT ÉTÉ RETARDÉE PAR UNE BAVARDE ou bien ‘IL N’Y AVAIT QUE DES VIEILLES CATOLES » (ORTHOGRAPHE PHONÉTIQUE).CA PARLE À QUELQU’UN ?

  12. Salomé Lefrancois

    Je voudrais faire faire l’enquête à ma grand mère car je pense que ses réponses seraient intéressantes mais je ne peux pas car je l’ai déjà faite ! Not cool

  13. Breizh

    J’ai déjà répondu à l’enquête sans donner d’expressions ou mots de ma région à la fin, je souhaite proposer trincailler, parce que j’ai été surpris du peu de personnes à la reconnaître dans mon entourage.

  14. Henri Callabre

    patois en sortant un peu du Morvan : gauger par chez nous, c’est expliquer « avoir de l’eau dans ses chaussures, surtout dans ses sabots » . Pour être tout mouillé, il se dit « tout naillé »

  15. Quarte

    Une piste d’explication à la diffusion en France du terme « carabistouille » : l’impact de l’album « Astérix chez les Belges »…

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