Quel français régional parlez-vous?

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👉Edition Europe (Belgique, France et Suisse) [19e édition, mai 2023]

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  👉 Edition français des Îles [1e édition, août 2019]

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👉 Edition Maghreb [1e édition, juillet 2019]

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📚🗺️ Du blog à l’atlas! 

Ces mots bien de chez nous chuchotent notre histoire, ce sont les voix hautes en couleur de la France et de ses voisins francophones. Retrouvez dans Comme on dit chez nous: Le grand livre du français de nos régions (Paris, éditions Le Robert) des cartes, des illustrations et des citations, pour savourer la créativité des français régionaux et se comprendre de Lille à Marseille et de Brest à Strasbourg ! Un incontournable pour tous les amoureux des mots et tous les curieux de notre pays. A retrouver dans toutes les bonnes libarairies, sinon en ligne ici ou .

A propos Mathieu Avanzi

Mathieu Avanzi est linguiste. Il a défendu une thèse portant sur l'intonation du français en 2011, et effectué plusieurs séjours postdoctoraux en Belgique (Louvain-la-Neuve), en France (Paris), au Royaume-Uni (Cambridge) et en Suisse (Berne, Genève, Neuchâtel et Zurich). Après avoir été maître de conférences à Sorbonne Université (Paris IV) au sein de la chaire Francophonie et variété des français, il a été nommé professeur ordinaire à l'université de Neuchâtel, où il dirige le Centre de dialectologie et d'étude du français régional. Ses travaux portent sur la géographie linguistique du français, sujet auquel il a consacré plusieurs articles et ouvrages.

126 réponses

  1. didandidan

    Jadis existaient les identités régionales: langue ou patois ou accent, danses, costumes, instruments de musique, chansons, dictons, traditions, culture, gastronomie…
    Les gouvernements successifs se sont appliqués à STANDARDISER le pays, à saper ces identités. Dernièrement, ils entendaient même valoriser l’identité nationale, qu’ils ont positionnée dans les stades de foot car s’y rencontrent drapeaux et hymne national, même si les mercenaires du ballon prennent la nationalité du pays le plus offrant.
    La Bretagne à tout de même encore un reste du passé.
    Attention, je ne suis pas un anti immigration. Les identités savent cohabiter.
    Quelques théoriciens amnésiques s’appliquent à chercher les derniers vestiges d’anciennes identités.

      1. Bonjour,
        Merci pour votre commentaire, c’est une remarque intéressante, mais justement, comment peut-on savoir à quel niveau de langue une expression appartient, si l’on n’étudie pas auparavant sa répartition géographique possible ? Peut-être qu’une expression qui vous paraîtra relever du style oral est perçue tout à fait comme le standard dans une autre région.
        Par ailleurs, les questions du test visent en effet à mettre en lumière les expressions utilisées en milieu informel, et non uniquement les « bonnes » manières de parler du français standard !

    1. Bonjour,
      C’est dommage en effet, il s’agit peut-être d’un problème de connexion (trop lente), ou de navigateur.. Merci en tout cas d’avoir essayé, et n’hésitez pas à retenter depuis un autre ordinateur éventuellement!

  2. Bonjour
    Sur votre carte, au Pays de Caux (Seine-Maritime), pour désigner une serpillère, vous marquez: Emballage, ce qui est faux (j’ai 61 ans et je n’ai jamais de ma vie entendu ce terme; ma grand-mère et mes tantes cauchoises disaient Vadrouille), où bien ce terme est moderne (de création Wikipédienne… donc, une invention de pseudos patoisants…) et/ou les gens en mal de réponse, l’ont pioché dans un de ces dicos de création récente…, car le vrai terme cauchois est: Vadrouille (lui même à l’origine du terme employé dans la marine et au Québec!).
    Bien à vous

      1. Bonjour! merci de votre commentaire et pardon pour le retard de la réponse, j’étais sûr d’y avoir répondu. En fait, cette carte a été réalisée sur la base de l’enquête conduite par Henriette Walter dans les années 70 (mentionnée dans « le français dans tous les sens », Paris, Hachette). C’est une enquête ancienne, et à laquelle un tout petit nombre d’informateurs ont participé (quelques-uns seulement par département). Il n’est donc pas étonnant qu’elle contienne des approximations et des erreurs. Nous espérons que les données de notre enquête permettront de faire une cartographie plus proche des usages des Français.

  3. Marie

    Bonjour, comment savez-vous que les gens répondent sérieusement à votre sondage, qu’il n’est pas pollué par des trolls ou par des gens qui veulent bien faire mais qui ont quitté leur région d’origine depuis des lustres et qui répondent vaguement selon leurs vagues souvenirs ? Avez-vous mis en place des techniques pour filtrer un peu des réponses ?

    1. Bonjour ! Merci pour votre commentaire très pertinent. En fait, vous avez raison : nous n’avons aucun moyen de vérifier que le sondage n’est pas pollué par des trolls. C’est pour ça qu’il est très important que nous ayons un maximum de participants sérieux au sondage, pour « passer le bruit » généré par les personnes peu sérieuses (du genre trolls ou petits rigolos). Ainsi, si on verra tout de suite et très facilement en faisant nos statistiques si des personnes ont répondu n’importe quoi.

  4. bironneau

    mon père était originaire des deux Sèvres où j’ai passé mon enfance, ma mère était Brestoise. J’utilise des tournures langagières bretonnes et des expressions et des tounures dont je n’ai découvert l’originalité qu’il y a peu dans un livre de Hervé Lossec .(les bretonnismes) Ma grand mère maternelle chavirait la bassine pour vider l’eau . Les chiffons s’appelaient pillou…
    Outre les différences de langage, il existait un mode de vie, une organisation familiale, des valeurs qui variaient d’une région à l’autre.

  5. De Keyzer Martine

    Bonjour,
    J’ai répondu à votre questionnaire avec grand plaisir.
    Je suis bruxelloise ( avec un s quand à Bruxelles, c’est un x prononcé comme dans Auxerre).
    Chez nous, nous parlons différents bruxellois suivant les origines sociales et la distance entre notre commune et le centre de la ville.
    Je parle un bruxellois commun. Dans le centre ville, c’est le plat bruxellois qui domine, soit le bruxellois à dominance française, soit celui à dominance flamande. Dans le bas de la ville, certains vieux parlent encore le bargoensch ( prononcé bargounch) qui est un mélange de vieux brabançon, d’espagnol et de flamand, très coloré.
    avez-vous été voir la page wiki ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Brusseleer
    Quelle belle idée en tous cas.
    Martine.

  6. isabelle contassot

    J’ai répondu à l’enquête, malgré la conscience d’avoir un profil doublement particulier, ayant vécu dans de nombreuses régions différentes au cours de ma vie d’une part, étant orthophoniste de formation d’autre part. Une remarque : dans les variantes de « il montre son équipement à son père », je n’ai pas trouvé ma variante personnelle (et pas professionnelle…) : « il lui montre ». J’ai mal lu ou est-ce un oubli ?
    Bonne continuation pour votre étude et vivent les langues, les dialectes, et aussi les néologismes…

  7. Françoise Delepoulle

    J’ai fait le test mais une réponse m’a échappée, on pourrait dire, je n’ai pas pu faire de choix, c’est tout de suite passé à la question suivante, un peu frustrant, mais de toute façon, je ne suis pas typiquement la bonne personne avec une mère du nord où je vivais et un père du sud (côte varoise). La culture, l’accent ch’tis était dévalorisés, et même ma grand-mère du nord ne parlait pas avec l’accent sauf quand elle avait envie de rire. Pour nous « gens des villes » parler avec l’accent du nord était très mal vu (même dans les écoles), c’était bon pour les gens des villages que nous considérions (pas de jugement là dessus, c’était comme ça) comme des ploucs. Mon grand-père était comptable mais avait des origines modestes. Donc seulement quelques mots du nord sont passé dans mon quotidien, wassingue par exemple que je n’emploie même plus car je vis depuis peu dans la région toulousaine, et ici, c’est incompréhensible! Par contre j’utilise quelque mots du sud (même ma mère du nord les utilisait) comme ensuqué par exemple. Il faut dire qu’il n’y a pas d’équivalent en français. Je précise mon age car pour les générations suivantes, il me semble qu’il n’y a pas la même réticence à parler Ch’ti. J’ai 66 ans.
    Même remarque que pour le précédent commentaire.

  8. TURGIS Gabrielle

    Quelqu’un connaîtrait-il l’expression utilisée par ma belle-mère -agricultrice près de Carentan dans la Manche en Normandie-? Quand il faisait chaud (ce qui n’arrive pas souvent en Normandie diront certaines personnes mal renseignées) et qu’on entendait vrombir les insectes, elle disait « On entend la marianne ». Un autre normand âgé prétend que ce serait le chant des grenouilles mais cela ne s’applique pas aux situations où je l’ai entendue.

    1. Gabrielle Turgis

      Je me réponds à moi même… Après recherche, je pense qu’il s’agirait d’une déformation de la  » mérienne » (méridienne) attesté dans la Hague.

    1. Jacques MIROU

      Tenez-vous compte de l’âge des participants pour l’élaboration des cartes ? Dans mon enfance, dans les années cinquante et soixante en région parisienne, je n’ai jamais entendu parler de chocolatines, mais de pains au chocolat. De même, le crayon qui pouvait s’effacer était crayon noir ou simplement crayon.

      1. Bonjour ! non, nous n’en tenons pas compte actuellement (on a essayé de faire des cartes différentes selon les catégories d’âge des participants, effectivement on voit des moyennes différentes, on postera ça bientôt sur le site !)

  9. […] Près de 20’000 personnes ont participé à nos précédentes enquêtes sur les mots et les expressions de nos régions, lancées au mois de mai dernier (certains des résultats sont consultables en cliquant sur ce lien). A la suite de ces enquêtes, nous avons reçu de la part des internautes des milliers de commentaires et de suggestions. Nous avons dépouillé, classé et organisé ces suggestions afin d’en sélectionner une cinquantaine. Nous voudrions à présent examiner la vitalité, ainsi que l’extension géographique des mots et des phrases que nous ont proposés les internautes. Dans cette nouvelle enquête, nous vous posons des questions sur les mots ou les phrases que vous utilisez dans la vie de tous les jours. Le soir, est-ce que vous dînez ou est-ce que vous soupez ? Vous est-il déjà arrivé de vous « encoubler » ? Quand vous êtes au volant de votre voiture, mettez-vous votre « signofile », votre « clignotant » ou votre « clignoteur » pour indiquer que vous allez tourner ? Vous est-il déjà arrivé de « chaler » quelqu’un ? Pile ou évier ? Cochon ou cayon ? Foehn ou sèche-cheveux ? Dites-le-nous en cliquant sur le lien ci-dessous, et amusez-vous bien ! Nouvelle enquête sur les mots et les phrases du français de nos régions A la demande générale, nous avons également mis en place une enquête sur les habitudes de prononciation des francophones. Faites-vous la différence entre les « pâtes » que l’on mange et les « pattes » d’un animal ? Prononcez-vous différemment la voyelle du mot « brin » et celle du mot « brun » ? Est-ce pour vous, le « piquet » que l’on plante se prononce de la même façon que le mot « piqué » ? Dites-le-nous en cliquant sur le lien ci-dessous, et amusez-vous bien ! Enquête sur la prononciation des mots de nos régions L’étude sur la prononciation des mots vous intéresse, et vous êtes originaires de la région Rhône-Alpes ou de Suisse romande ? Alors cliquez plutôt sur le lien ci-dessous : Enquête sur la prononciation des mots de nos régions (Suisse romande/Rhône-Alpes)  Vous pouvez retrouver les liens des premières enquêtes en cliquant sur ce lien. […]

  10. […] Open Search Près de 20’000 personnes ont participé à nos précédentes enquêtes sur les mots et les expressions de nos régions, lancées au mois de mai dernier (certains des résultats sont consultables en cliquant sur ce lien). A la suite de ces enquêtes, nous avons reçu de la part des internautes des milliers de commentaires et de suggestions. Nous avons dépouillé, classé et organisé ces suggestions afin d’en sélectionner une cinquantaine. Nous voudrions à présent examiner la vitalité, ainsi que l’extension géographique des mots et des phrases que nous ont proposés les internautes. Dans cette nouvelle enquête, nous vous posons des questions sur les mots ou les phrases que vous utilisez dans la vie de tous les jours. Le soir, est-ce que vous dînez ou est-ce que vous soupez ? Vous est-il déjà arrivé de vous « encoubler » ? Quand vous êtes au volant de votre voiture, mettez-vous votre « signofile », votre « clignotant » ou votre « clignoteur » pour indiquer que vous allez tourner ? Vous est-il déjà arrivé de « chaler » quelqu’un ? Pile ou évier ? Cochon ou cayon ? Foehn ou sèche-cheveux ? Dites-le-nous en cliquant sur le lien ci-dessous, et amusez-vous bien ! Nouvelle enquête sur les mots et les phrases du français de nos régions A la demande générale, nous avons également mis en place une enquête sur les habitudes de prononciation des francophones. Faites-vous la différence entre les « pâtes » que l’on mange et les « pattes » d’un animal ? Prononcez-vous différemment la voyelle du mot « brin » et celle du mot « brun » ? Est-ce pour vous, le « piquet » que l’on plante se prononce de la même façon que le mot « piqué » ? Dites-le-nous en cliquant sur le lien ci-dessous, et amusez-vous bien ! Enquête sur la prononciation des mots de nos régions L’étude sur la prononciation des mots vous intéresse, et vous êtes originaires de la région Rhône-Alpes ou de Suisse romande ? Alors cliquez plutôt sur le lien ci-dessous : Enquête sur la prononciation des mots de nos régions (Suisse romande/Rhône-Alpes)  Vous pouvez retrouver les liens des premières enquêtes en cliquant sur ce lien. […]

  11. Merci pour ce travail
    une remarque cependant. Dans toute la partie wallonne du pays et principalement dans l’Est, on use de beaucoup d’expressions de la langue wallonne ou de françisations de celle-ci. … ce n’est pas du vocabulaire français mais cela peut y être mélangé…

  12. Sébastien

    Bonjour,

    Ce qui me paraît assez difficile à évaluer dans cette enquête, c’est le contexte dans lequel nous utilisons ces mots/expressions régionales.
    Un mot ou une expression peut être plus ou moins ancré dans notre langage et nous allons l’utiliser plus ou moins consciemment.
    Par exemple, je n’utilise le mot « grole » pour désigner un corbeau que si je parle à un vendéen (mon département d’origine).
    En revanche, je dis systématiquement « barrer une porte » pour exprimer que je la ferme à clé.
    A l’opposer, lorsque j’ai vécu dans les Vosges, j’ai compris que si je voulais demander un sac en plastique à la caissière du supermarché, je devais demander un « cornet » pour qu’elle me comprenne.

    En bonus, une expression que je refuse d’utiliser parce qu’elle me hérisse les poils des oreilles : « fâcher quelqu’un ». C’est une expression utilisée dans le sud de la Touraine (où je vis actuellement) mais peut-être ailleurs aussi. Elle signifie en réalité « se fâcher contre quelqu’un ». Même les professeurs des écoles l’utilisent !

  13. tillja

    J’ai remarqué qu’en fonction de leur origine les gens prononcent de manière assez différente les noms de certaines villes comme Anvers, Bruxelles, Schaerbeek ou Metz, mais aussi des noms régionaux comme Avoriaz, Nendaz ou Onex.

  14. […] Depuis le début des années 2000, DrDico, un linguiste (et camarade, on était dans la même promo à la fac de Grenoble !), passionné d’orthographe, s’intéresse à l’évolution des mots qui figurent entre les différentes éditions du petit Larousse et du petit Robert. Il répertorie sur une page web l’ensemble de ces changements (nouvelles entrées, nouvelles sorties, fusion/scissions d’articles, changements orthographiques, etc.). Il propose même un classement des mots nouveaux en fonction de leur origine géographique. Pour les éditions 2017, le dépouillement de DrDico nous apprenait que l’apparition deux mots expressions que l’on retrouve dans nos enquêtes. […]

  15. Pour persil = persy (id fuzy pour fusil), la carte n’est pas exacte; en effet, la Charente occitane comme le limousin prononce « persy » et non « persill » (occitan limousin « dau parsy » ou « dau pèrsy »).

  16. On dit en Charente occitane (est de la Charente contigu à la Dordogne et au Limousin « san fran » (cent francs) et deussan fran (200 francs); en occitan cein francs (5 = cïn’m); et doussein an (200 ans) sans liaison en dialecte occitan; deussanzan en français; cela tient à la normalisation scolaire à la charnière ders XIX/XXè s.

  17. Arnaud Paronian

    Ah ! ah ! j’ai adoré l’approche (géo x linguistique).,
    que d »étonnements pour le L de persil vécu à la maison, le S d’ananas, mais jamais quant à l’aniS.
    évidemment, je suis un français standard, j’oserai même regular (= né et grandi à Paris).

    je vous suggère d’investiguer (pas terrible non plus) la prononciation du pfonème « ess » dans l’ouest de la France ; mon ancienne compagne née et ayant grandi à Lorient, continue encore de prononcer rÉssembler, rÉssentir avec ce /e/ fermé et pourtant elle ne lit plus oueSfrance depuii longtemps !!!

    de mon côté, j’adore à nice, le verbe chaler, et j’ai mis du temps à comprendre pourquoi le patronyme de la famille de Broglie se prononce si bizarrement Breuj [bʁœj],

    j’ai évidemment élargi (sic) votre ressource vers mon entourage jurassien qui possède également de si étonnantes singularités.

  18. Fulup

    Bonjour,
    Dans l’ouest de la Bretagne, comme on est passé directement du breton langue maternelle au français standard appris à l’école on a soit des mots bretons qui persistent dans le français, soit une influence de la phonétique et de la syntaxe bretonnes qui percolent (influence du substrat) mais sinon en général on utilise un français très standardisé pour ce qui est du vocabulaire quotidien puisque le français est une langue apprise récemment, au cours du XXème siècle.

  19. […] Les cartes de l’Atlas du français de nos régions ont été établies à partir de différents sondages, auxquels plusieurs milliers d’internautes ont participé. Concrètement, on conviait les internautes à répondre à une trentaine de questions, en cochant dans une liste le/les mots qui s’applique(nt) le mieux dans leur usage pour dénommer un certain objet ou une certaine action (on peut accéder aux enquêtes en cours en cliquant ici. […]

  20. […] Depuis 2015, les linguistes qui animent le blog français de nos régions ont mis au point des enquêtes visant à examiner la vitalité et l’aire d’extension de certaines particularités locales du français que l’on parle en Europe (Belgique, France et Suisse) ainsi qu’au Canada et dans les Antilles. Vous pouvez contribuer à notre projet en participant à l’un de nos sondages: c’est drôle, gratuit, anonyme et on répond de son téléphone, sa tablette ou son ordinateur. Compter 10 minutes tout au plus pour répondre à l’ensemble des questions! Pour voir de quoi il s’agit, cliquez ici! […]

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